/ Les Montées

Les Montées

Il faut rouler avec des chambres assez dégonflées (environ 800g) ou sinon restez en bas !

Il faut toujours regarder le haut de la côte, privilégier l’élan et les premiers mètres du bas de la montée.

C’est de la vitesse prise en bas que dépend la réussite en haut. En position debout, rentrez le plus vite possible dans le bas de la montée. On ne peut plus accélérer sur la pente raide et si vous êtes bloqué dans la pente raide, sautez en amont et couchez la moto pour éviter qu’elle ne reparte en arrière.

À ce moment là soit on pousse jusqu’en haut de la côte soit on redescend.

Pour les longues montées il faut toujours le maximum d’élan, observez la montée et éventuellement laissez passer un autre pilote pour voir l’adhérence et où il y à des pièges.

Enclenchez le bon rapport suivant votre moto et lancez vous . À partir de ce moment il faut y croire ne pas lâcher la poignée de gaz !!!

Et éventuellement (comme une 125) accompagnez avec l’embrayage si la moto s’étouffe.

Si vous ne pouvez plus monter, soit vous faites demi-tour soit vous tirez sur les bords. Si c’est étroit sautez à coté de la moto et courrez en poussant la moto pour atteindre le sommet.

Et voilà vous êtes en haut, enfin j’espère pour vous !

Les Montées

Il faut rouler avec des chambres assez dégonflées (environ 800g) ou sinon restez en bas ! Il faut toujours regarder le haut de la côte, privilégier l’élan et les premiers mètres du bas de la montée. C’est de la vitesse prise en bas que dépend la réussite en haut. En

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Les Franchissements

Que ce soit une marche, une montée, un goulet ou une ravine, c’est la prise d’élan qui fait que l’on franchit ou pas… N’arrivez pas le nez dans le guidon, et n’hésitez pas à sortir des traces et choix faits par les pilotes précédents. Posez en même temps un œil

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Les Descentes en dévers

Appuyez sur le cale-pied extérieur au dévers, tout en gardant la position en arrière. Les erreurs à éviter :1. Rester assis2. Prendre de la vitesse lorsque le champ de vision est réduit3. Paniquer quand la moto glisse de l’arrière4. Trop freiner de l’avant5. Hésiter à l’abord d’une grosse cassure

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Les Descentes empiérées

Attention , terrain « piégeur » ! Il est important de jouer avec l’embrayage comme en trial pour absorber les cailloux . Il est aussi nécessaire d’utiliser le frein arrière plus que le frein avant à cause des cailloux roulants qui peuvent amener à la chute, gardez un filet de gaz tout

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Les Descentes

Avant de vous lancer, laissez passer un pilote pour voir où il freine, où il glisse et… où il tombe ! (c’est la règle de l’enduriste malin). À partir de ces renseignements adoptez la méthode appropriée. Soit sur la moto soit à côté, si vous restez sur la moto mettez

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Les Départs

Déjà pour faire un bon départ il faut y croire, car si vous avez peur d’être nul vous serez nul. Il faut avoir la « niaque », avoir envie de doubler les autres de les dépasser dès le premier virage ! Il faut être bien calé sur la selle, le buste légèrement

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Les Bourbiers

En arrivant dans un bourbier, c’est le moment où il faut faire l’enduriste, le vrai (vous savez celui qui est fainéant… ). Se calmer lever la tête et voir s’il n’y a pas un moyen, une issue pour le contourner ou choisir le tracée le moins abîmé. Regarder et “sentir”

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Freinages

Contrairement à ce que l’on pense il ne suffit pas d’avoir des freins , le freinage est très technique et puis c’est souvent au freinage que l’on peut dépasser si l’on ne chute pas !!! En général il vaut mieux placer les leviers dans l’alignement des bras et la pédale

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